Que sont-ils devenus ? – Michel Morandais

Basket — par Julien Lampin, le 14 mai 2020 (8:27)

Crédit photo : Julien LAMPIN

Même en ce début de déconfinement, Sport Club propose sa série « Que sont-ils devenu(e)s ? » qui permet de retrouver des figures du sport rémois ou passées par Reims. Monté en Pro A en 2014, le CCRB était mené alors par Michel Morandais, un mec simple à la carrière exemplaire. Passé notamment par Cantù, Barcelone, Madrid, international français à plusieurs reprises, le basketteur guadeloupéen s’engage avec Châlons-Reims en 2013. Il est élu MVP de Pro B dès la première saison, tournant à plus de 14 points de moyenne. En Pro A, cap’tain Morandais rendra encore des services précieux, tournant à près de 10 points de moyenne pendant deux ans, permettant le maintien du club dans l’Elite. Un sacré joueur, et un homme respecté. Souvenirs de Michel Morandais, by Julien.

Que sont-ils devenus 1 : Kevin JOSS-RAUZE
Que sont-ils devenus 2 : Julien GUILLOTEAU
Que sont-ils devenus 3 : Teddy TINMAR
Que sont-ils devenus 4 : Louis TRAN
Que sont-ils devenus 5 : Mickaël TACALFRED
Que sont-ils devenus 6 : Aurélie LOPEZ
Que sont-ils devenus 7 : Julie DECAUDAIN
Que sont-ils devenus 8 : Ronan TANGUY

Michel, raconte-nous un peu ce qu’il s’est passé pour toi depuis ton départ du CCRB ?

Avant tout, ce n’était pas facile de quitter le club et Reims. Ma famille et moi nous étions attachés au club et aux villes bien sûr. Nous avions déjà nos petites routines et nos amis. Depuis notre départ de Reims nous sommes retournés auprès de la famille en Guadeloupe, puis on s’est installés à Miami. Nous y sommes depuis 3 ans maintenant.

Quel attachement tu gardes avec Reims ? Qu’est-ce que tu en as comme souvenir globalement ?

Je suis toujours attaché au club. Au lieu d’être joueur, je suis devenu supporter (rires). Je garde de très bons souvenirs de mon passage au club, ma relation avec le public était top.

Peux-tu raconter une anecdote, un souvenir, marrant ou marquant de ton passage ?

Je n’ai pas vraiment d’anecdote particulière qui me vient à l’esprit à part un week-end après la saison avec ma famille. On se rendait en région parisienne en voiture et un des pneus a crevé et disons juste que d’essayer de réparer un pneu avec 2 enfants en bas âge ce n’est pas le plus simple.

Quels sont tes projets pour la suite ?

Pour la suite de ma carrière ici, je coach l’équipe de basket de mon fils. Enfin, plus pour l’instant à cause du Covid-19, et avec ma femme on a une boutique de Frozen yogourt.

Crédit photo : Julien LAMPIN